Lettres du CRRAC

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lettre A Madame la Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire octobre 2019
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Courrier préfecture octobre 2019
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LETTRE OUVERTE DE CHRISTOPHE SOULHAC, ELAGUEUR A LA SOCIETE FRANCE  SEQUOIA , TITULAIRE D’UN DES MARCHES D’ELAGAGE DEPARTEMENT / ASAFAC POUR LA SAISON 2018/2019

 

 Une version intégrale plus longue de ce courrier est déjà parvenue dans les mairies de Corrèze, au Conseil Départemental  et aux autres entreprises travaillant sur ce chantier d’élagage.

 

Il faut préciser tout d’abord que suite aux réclamations de cette entreprise concernant l’organisation du chantier par le Département, la maîtrise d’œuvre départementale a décidé de l’écarter des nouveaux marchés subséquents pour 2019/2020, au profit d’autres entreprises peut-être plus dociles ou moins exigeantes. L’entreprise estime donc légitime de reprendre sa liberté de parole.

 

Les principaux points soulignés par Mr Soulhac sont les suivants :

 

                -désorganisation du suivi de l’opération par le Département : les travaux devaient démarrer au premier octobre, mais n’ont pu le faire que la dernière semaine de janvier. Sur chaque secteur attribué aux entreprises, les lots n’ont été définis que très tardivement (Sur Chambéret le marché devant se terminer officiellement le 30 avril n’a pu démarrer par exemple que le 18 mars)….

 

                - le marquage des secteurs à élaguer a été fait sans organisation, par des personnels sans formation, sans expérience, livrés à eux-mêmes. Et avec beaucoup de retard, ce qui a désorganisé les chantiers, et aussi de nombreuses erreurs.

 

                - si on prend le secteur 2.1, attribué à France Séquoia, les marquages ont été effectués sans aucune rigueur : marquage en limite de propriété plutôt qu’en « bout de branche », marquage des arbres publics sur le privé et inversement, arbres à abattre (publics et privés) ne présentant aucun danger et en bonne santé, mesure de longueur effectuée au pas ou au camion, marquage de végétation inférieure à 4m (haie de tuyas, de lauriers), oubli de marquage d’arbres réellement pourris ou penchant dangereusement…..

 

- Bien des riverains ont payé un élagage de sécurisation alors que le traitement habituel à l’épareuse aurait suffi en relevant un peu le matériel ou en rajoutant un passage ou deux.

 

- Certains secteurs, comme Argentat  et Lubersac, ont été traités au lamier, contrairement à ce qu’exigeaient les marchés (taille sur  tire-sève). L’emploi de ce matériel, trop court, n’a d’ailleurs pas permis aux entreprises de respecter les hauteurs de coupe demandées dans les marchés. Le travail facturé aux riverains n’étant pas conforme, ceux-ci devraient refuser de payer.

 

- Dans certains secteurs (Argentat, Lubersac, Meymac et Ussel) les copeaux résultant du broyage ont été souvent envoyés dans les fossés. Ces derniers ont été bouchés occasionnant des inondations que les agents du Département ont du traiter. Alors que les marchés exigeaient bien la propreté des chantiers (critère fixé par le Département pour la reconduction des entreprises après l’attribution des premiers lots).

 

- La sécurité des chantiers, vis-à-vis des usagers de la route n’a pas non plus été respectée, malgré les remarques techniques de l’entreprise au Département : le travail en alternat retenu par les agents du Département est en effet  bien moins sûr que le travail en route fermée sur les « petites » départementales. La rapidité d’exécution du chantier en a bien entendu été affectée.

 

- Le travail de marquage sur les 7 autres lots de France Séquoia ayant pris du retard l’entreprise a également demandé un arrêt du chantier afin de pouvoir intervenir rationnellement quand tous les marquages seraient enfin faits, au lieu de revenir plusieurs fois.

 

- L’entreprise a également vérifié les marquages, en appliquant les dispositions techniques prévues dans les marchés, et a trouvé de nombreuses anomalies : 50% des marquages correspondant à des haies de moins de 4m, à des haies décoratives (thuyas…), à des haies paysagères en bordure de prés, et également certains marquages à l’intérieur des panneaux d’agglo. Les marchés ne s’appliquent en effet que hors agglo.

 

- Le bilan financier est également très mauvais, selon les chiffres établis par Mr Soulhac. Au départ,  le Département déplorait, par la voix de Mr Coste, un coût d’entretien excessif des abords des départementales, estimé à 2000€ du km, s’il était pris en charge par la collectivité. Le coût constaté de la démarche collective Département / ASAFAC se monte à 7000€ et plus du km,  dépenses du département en personnel pour les différents marquages, courriers, réunions et accompagnement du déroulement du marché. Et bien entendu comme les élagages ne sont faits que partiellement, selon le nombre de devis approuvés, l’économie d’échelle attendue n’est vraiment pas là du tout ! Et ce sont les riverains qui paient, 85% de leurs devis personnalisés,  alors qu’ils s’acquittent déjà de l’impôt.

 

Mr Soulhac, qui connait bien les routes de Corrèze,  estime pour sa part que, au lieu des 3700 km voulus par  le Département, on pourrait techniquement se contenter de 300 à 400 km d’élagages vraiment utiles. Les routes départementales, surtout les plus fréquentées ne sont en effet, en règle générale,  pas du tout menacées ou détériorées par les arbres.

 

Le problème est plus concentré sur certaines  voies communales qui ont été moins bien entretenues et où le trafic poids lourd (grumiers, paille, aliments pour animaux…) touche parfois directement les branches d’arbres trop bas.

 

Du point de vue de la légalité de la démarche, Mr Soulhac témoigne que, lors d’une réunion des entreprises en octobre 2018, le Directeur des routes du Département les aurait informées que le Département ne pouvait pas « obliger les propriétaires à élaguer eux-mêmes les abords de route et qu’aucune procédure n’aboutira pour ceux qui ne feraient rien » ! Les propriétaires qui acceptent les devis de l’ASAFAC en pensant qu’ils y sont légalement obligés, dépensent donc de l’argent pour rien.

 

Du point de vue de l’égalité des citoyens devant cette opération d’élagage (obligatoire, maquillée en opération volontaire), il faut noter que le système de répartition des secteurs entre plusieurs entreprises débouche obligatoirement sur des prix unitaires différents d’un secteur sur l’autre et également sur des prestations différentes. Chaque entreprise interprète effectivement les marchés à sa guise pour des raisons de rentabilité (comme l’usage du lamier détecté ça et là). Cet état de fait débouche sur une inégalité financière entre citoyens pour une opération que le Département considère comme d’utilité publique.

 

Mr Soulhac  remarque également que des dégâts constatés l’automne dernier suite aux chutes de neige, sont localement directement attribuables à la suppression des lisières protégeant les peuplements forestiers, suppression faite suite aux injonctions départementales. Les résineux des plantations, n’étant plus protégés, ont eu tendance à tomber sur les routes. Il peut également arriver des désordres aux réseaux existants ou à la fibre déjà posée. Si le dégât est dû à des grands arbres un peu éloignés dans la parcelle et fragilisés par la suppression de la lisière, qui sera responsable et qui devra payer la réparation très coûteuse de la fibre et les dommages et intérêts réclamés par le gestionnaire du réseau qui sont proportionnels à la durée de la coupure et aux nombres d’abonnés  ?

 

Il remarque également que, une fois cette campagne d’élagage effectuée (même dans l’hypothèse où elle serait « bien faite ») il faudra périodiquement revenir sur certains arbres. Et se demande si les propriétaires, qui n’ont pas été avertis de cette subtilité,  accepteront de remettre éternellement la main à la poche…..Il cite des exemples dans d’autres départements où les travaux sont directement faits par les collectivités, les propriétaires étant prévenus et bien entendu laissés libres de faire les travaux eux-mêmes.

 

Selon lui d’autres procédures moins chères et plus efficaces pourraient être mises en place, plutôt au niveau des communes.

 

Il déplore, comme beaucoup, que dans certains secteurs très touchés par des élagages mal faits ou des abattages inconsidérés et inutiles, les paysages corréziens  sont durablement affectés et que le prochain évènement climatique sera dramatique pour les forêts sans bordure.


La goutte d'eau et le rayon de soleil

Des photos de routes corréziennes dégradées par une chaleur intense, caniculaire qui a plus abimé les routes que la goutte d’eau de M. Coste! L’ombre des arbres protège les hommes et les routes ! On a même sablé des routes afin d’absorber le bitume qui avait suinté entre les gravillons, un comble ! avec les risques que cela comporte. Et pas d’interdiction de circuler pour les poids lourds pendant les fortes chaleurs.

Que fait M. Coste? il y aura surement bientôt un programme -obligatoire- du Département pour reboiser...


Lettre de la mairie de Saint-Matin Sepert sur l'élagage, réponse et clarifications légales


COMMUNIQUE DU CRRAC COLLECTIF POUR LE RESPECT RAISONNE DES ARBRES CORREZIENS (26 novembre 2018)

 

 

Le collectif CRRAC, qui s’est rassemblé dès le début pour lutter contre la campagne d’élagage systématique et obligatoire des arbres bordant les routes départementales et communales, a décidé de prendre le statut d’association Loi 1901. Cette décision marque la nécessité de passer à la vitesse supérieure au niveau des actions et des moyens pour ramener cette opération d’élagage à des proportions enfin raisonnables et respectueuses de l’environnement et du cadre de vie de tous les Corréziens et des visiteurs qui apprécient ce département très vert et accueillant.

 L’objet de l’association est le suivant (extrait des statuts) :

 ·       Faire connaître et faire valoir les aménités apportées au bien commun par les arbres non forestiers, publics ou privés, en alignement, isolés ou en haies, en tant qu’êtres vivants, dans les domaines de la lutte contre le réchauffement climatique et ses effets, de la biodiversité, du paysage, du patrimoine et de la culture, des infrastructures et autres installations humaines.

 ·       Faire également connaître et expliquer les modes de gestion de ces arbres les plus appropriés à la meilleure expression possible de ces aménités au présent et également dans le futur.

 ·       Faire connaître et faire appliquer tous les textes du Droit Français et Européen qui traitent de la protection des arbres et des haies à divers titres (Code de l’Environnement, Code du Patrimoine, Code Général des Collectivités Territoriales, Code de l’Urbanisme, Code des Postes et des Télécommunications Électroniques, Directives européennes, etc.).

 ·       Travailler à l’amélioration du droit dans le domaine de la préservation des arbres non forestiers et des haies en rapport avec les aménités mises en évidence, à la fois sur la base des données juridiques et scientifiques actuelles et sur celle des connaissances à venir. - Susciter la reconstitution des alignements, des replantations et le renouvellement des arbres bordant les routes.

 

"Notre objectif est de rétablir la raison et le respect dans la gestion des arbres des bords de routes telle qu’imaginée par le Département et certaines collectivités. Nous utiliserons nos publications et actions pédagogiques, sur la technique et le droit, à cette fin. Nous n’excluons pas de préparer des actions en justice permettant de faire respecter ce Droit. Nous pourrons également apporter une aide technique et juridique aux personnes exposées à des décisions autoritaires ou à des intimidations sur ces sujets. Pour cela, nous avons besoin de recruter le plus possible d’adhérents et de disposer de moyens financiers..."

 

Nous avons également besoin d’un réseau d’adhérents proches du terrain qui surveilleront chaque territoire et seront capables d’être des lanceurs d’alerte. Le CRRAC aura ainsi des yeux partout et pourra intervenir au mieux et en temps voulu pour éviter les catastrophes.

 

Une réunion est programmée lundi 3 décembre à Tulle, salle Latreille (10 impasse Latreille), à 20 heures,  pour lancer le CRRAC sur orbite. Venez nombreux nous soutenir.



Manifeste des poètes, écrivains, éditeurs, musiciens, peintres, sculpteurs, artisans d'art, et autres gens de métier...

 

Au nom du credo reçu de Dostoïevski, « La beauté sauvera le monde »,

 

sensibles par métier à l’harmonie des êtres et des choses, et blessés des dégâts causés aux paysages par les récentes injonctions départementales visant les arbres des routes de la Corrèze, nous saisissons l’occasion de la Foire de Brive, qui rassemble des serviteurs de l’écrit et de l’esprit, pour apporter notre appui aux milliers de citoyens qui demandent l’arrêt de ce massacre végétal et paysager.

En souvenir des arbres vivants chez Arnaud Daniel et Bernard de Ventadour, de leur image chez Auguste Renoir, Claude Monet, l’École de Crozant, Suzanne Valadon, Rebeyrolle et Cueco, de leur inspiration chez Francis Poulenc et Olivier Messiaen, de leur présence auprès de Marmontel, des frères Tharaud, d’Alexandre Vialatte et d’Henri Pourrat – de leur silhouette chez Éric Rohmer - et en mémoire de l’Aubre chez la grande Marcelle Delpastre, comme à l’enseigne du chêne immense de Gustave Courbet…

Ils renvoient au sages conseils de « L’autre Guide d’élagage » disponible sur https://dearlim.jimdo.com/

pour ramener sereinement à la raison cette initiative aberrante.                          

 

Collègues et ami(e)s, si vous approuvez ce simple manifeste, veuillez le dire par retour de courriel au Collectif pour le Respect Raisonné des Arbres Corréziens

dearlim@netcourrier.com

en précisant si vous acceptez d’y figurer (ou pas) sous vos nom et qualité.

 

Avec nos vives amitiés,

Luc de Goustine, écrivain,

Jean-Pierre Lacombe, poète

Olivier Payrat, musicien

entre bien d’autres…


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l'autre guide 9 octobre.pdf
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Venez manifester votre opposition à la campagne sauvage d'abatage/élagage des arbres de nos routes Corréziennes, le Samedi 06 Octobre à 11h devant la Cathédrale de Tulle. Voyez ici l'appel à manifester et faites le suivre à vos connaissances.



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A qui appartiennent les arbres bordant les routes
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Quand est-il nécessaire d’élaguer un arbre en port libre
3 Quand est-il nécessaire d’élaguer un a
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Quel est le cadre légal qui régit les les opérations d’élagage
4 Quel est le cadre légal qui régit les.
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Y-a-t-il des textes qui régissent la protection des arbres
5 Y-a-t-il des textes qui régissent la p
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Les arguments du Département sont-ils techniquement fondés
6 Les arguments du Département sont-ils
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La nouvelle politique du département garantit-elle un changement de résultats
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Quelles sont les règles de l’élagage raisonné en en bordure de route
8 Quelles sont les règles de l’élagage r
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9 degats paysages.pdf
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La Marche pour la forêt passe par Argentat sur Dordogne le 10 octobre ; accueil des marcheurs par l'association Faîte et Racines, membre du R.A.F. http://alternativesforestieres.org/





Invitation à Sainte Fortunade - 5 juin - 20H- Réunion sur la gestion des bords de routes



La patrie reconnaissante:

Les élites politiques parisiennes et locales s'auto-congratulent et se décorent.

 

P.Coste: « Mes meilleurs opposants apprécieront que je sois reconnu au titre de l’écologie... Ça me fait bien plaisir ! »

 

Les Corréziens et leurs arbres lui font part de leur fierté et de leur admiration


"Il ira jusqu'au bout" (Soutien en forme de dessin du dessinateur Calvi)


10.000 arbres abattus: cela méritait bien la reconnaissance de la République!

Avec un décoration "au titre du Ministère de la transition écologique et solidaire"!...

ou quand l'état se moque de ses citoyens...


Communiqué des Collectifs et associations AGIRR, DEARLim, CRRAC, SFA, ARBRES, ASPPAR, Corrèze Environnement, SPPEF, ADAF, Limousin Nature Environnement, Maisons Paysannes de Corrèze, CITOYLIENS, AAPLX

(24/04/2018)

Corréziennes, corréziens, arrêtez de couper vos arbres, nous sommes manipulés!

Les différentes associations et collectifs qui militent contre la désastreuse campagne « d’élagage » du Conseil Départemental ont analysé attentivement les termes du nouveau revirement annoncé le 5 avril par M. Coste. Elles ont bien noté que le seul changement est le renoncement provisoire à la procédure d’exécution d’office des travaux. Elles saluent ce sage repli stratégique, en dépit des certitudes initiales sur l‘avancée inéluctable de l’opération. Il est maintenant avéré que toutes les références juridiques invoquées depuis le début ne sont pas valables, ou sont tronquées et employées à tort. Tout est illégal. Le saccage sans précédent auquel nous assistons, et auquel beaucoup d’entre nous ont été contraints de participer, trouve sa source dans la procédure d’élagage obligatoire qui n’existe que dans la tête de M. Coste. Il nous a manipulés ! Et la manipulation continue en direction des maires cette fois-ci : ils viennent de recevoir un nouveau courrier donnant soit disant des preuves de la "légitimité et de la légalité" de l'action du Département. Une analyse poussée de cette note par des juristes experts en droit de l'Environnement montre encore une fois l'amateurisme et la mauvaise foi juridique du président. Pas moins de cinq erreurs grossières et fatales mettent à bas tout l'argumentaire.

Alors que les tronçonnages se poursuivent à un rythme soutenu en ce milieu de mois d’avril (ce qui est d’ailleurs interdit pour cause de nidification, article L 411-1 du Code de l'environnement), les 28000 propriétaires ont-ils été informés par lettre de ce troisième revirement, comme ce fut le cas lorsqu’il s’agissait de les menacer de mise en demeure ?

Cette nouvelle méthode ne change rien sur le fond. L’objectif reste, à terme, d’éliminer toute branche au-dessus des routes. Cet élagage systématique généralisé est illégal, car disproportionné et non motivé. Rappelons qu’un maire, au nom du Code Général des Collectivités Territoriales (et donc aussi le Président du département) ne peut imposer un élagage que si un arbre  constitue une gêne manifeste à la « commodité de passage » et/ou un risque avéré pour la « sureté ».

Nous notons une évolution dans les différentes raisons invoquées, avec un abandon complet de toute référence au déploiement de la fibre. Les seuls enjeux invoqués désormais sont ceux de la sécurité et de l’entretien des routes. Les effets bénéfiques supposés de l’élagage sur ces deux points ne sont toujours pas documentés ni quantifiés, et sont même contraires à ce que l'on sait sur la dégradation des routes par le soleil, ou sur la captation d'une partie de la pluie par les arbres. Ces arguments fallacieux jettent le discrédit sur l'argumentaire de M. Coste et suscitent la suspicion sur les raisons d'un tel acharnement. Le dernier communiqué explique clairement qu'il s'agit au premier chef de se défausser sur les citoyens des frais d'entretien courants du Département.

Le Conseil Départemental dit vouloir faire évoluer la méthode en passant d’un programme contraint à un « contrat de confiance et d’engagement » avec les propriétaires. La manipulation continue sous une nouvelle forme : celle du partenariat. M. Coste promet de faire la « preuve par l’exemple » en faisant réaliser l’élagage du domaine public départemental selon un cahier des charges qualitatif. De belles preuves d’exemplarité existent déjà, avec des alignements d'arbres centenaires abattus, ou l’élagage « en drapeau » des hêtres d’alignement de la RD 940, réalisé il y a peu par les équipes du CD elles-mêmes. Outre le préjudice esthétique, ces arbres définitivement mutilés sont condamnés à moyen terme par ce procédé contraire à tous les principes d’arboriculture.

M. Coste refusant totalement l’idée du moratoire, c’est à nous,  citoyens, d’abandonner totalement ce projet en rangeant les tronçonneuses et les carnets de chèque, en n’adhérant pas au « contrat de confiance », et encore moins à la démarche groupée qui consiste à faire un chèque en blanc à l’ASAFAC, dont on ne sait absolument rien.

Les associations et collectifs vont passer à l’offensive avec des actions en justice concernant les arbres protégés pour des raisons écologiques, esthétiques ou patrimoniales, et une demande au département de s’engager dans une campagne de replantation massive au bord des routes, afin que la Corrèze reverdisse et panse ses plaies.

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Communiqué 24-04-2018.pdf
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Courrier de M. Coste aux maires de Corrèze, 23 avril 2018

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Courrier de Coste vers maires 23 avril 2
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Lettre aux maires et conseillers municipaux des communes de Corrèze - SFA, 22 avril 2018

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LETTRE AUX MAIRES ET AUX CONSEILLERS MUN
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"La Montagne" (22/04/2018): Cri d'alarme

L'hécatombe des oiseaux de nos campagnes s'accélère en Limousin

Nos campagnes seront bientôt silencieuses. Depuis des années, les scientifiques annoncent la disparition de nos oiseaux communs ; il y a à peine un mois, ils parlaient d’un déclin massif, « proche de la catastrophe écologique ».


Retrouvez vos arbres au super-marché

Le Conseil du Département de la Corrèze se lancerait-il dans la revente des arbres publics "élagués"?


Haro sur les arbres! La méthode Coste fait des émules

Voutezac : où sont passés les arbres du cimetière ? France Info 19/10/2017

 

Elle ne décolère pas. Paule habite Voutezac en Corrèze. Cette semaine, elle a découvert que les arbres du cimetière avaient été abattus. C'est la mairie qui a pris cette décision "pour des raisons d'entretien".

Cimetière avant le massacre, qui avait clairement bien besoin d'un vigoureux et décisif "entretien", avec le résultat ci-dessus.

 

Mme la Maire précise: "Les conifères, qui bordaient l'entrée du cimetière, perdaient leurs aiguilles et cela devenait fastidieux et coûteux d'en débarrasser le sol et les tombes."

Haro sur les conifères!


Le maire de Goulles, en retard d'un train

Dans son bulletin municipal de mars 2018, le maire de Goulles relaye les injonctions, les schémas techniques décriés, et les désinformations légales du CD, mais confirme que ENEDIS fera le travail d'élagage nécessaire pour faire passer sa fibre.


Lettre de P. Coste aux maires - 9 avril 2018

reprenant le communiqué du  5 avril 2018

où il apparait qu'il n'est plus question de la fibre et qu'il s'agit bien de se défausser sur nous des frais du Département

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Lettre de P Coste aux maires 9 avril 201
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Témoignage

Je suis un résident de La Roche Canillac.

Au cours des 3 à 6 derniers mois, les plus gros arbres du village ont été abattus.

Ces arbres avaient entre 150 et 200 ans ou plus. Un chêne gigantesque, un énorme sequoia, un autre énorme sequoia et de nombreux arbres de 75 à 100 ans. Ces arbres étaient des monuments dans notre village.

Comment un tel massacre pourrait-il avoir lieu? Qu'est-ce qui a été inventé comme raisons pour commettre de tels crimes? Trop d'ombre? (...) Protéger la route carbonisée des arbres qui nettoient le carbone?

Ceux qui gouvernent notre région sont devenus une véritable confédération de crétins.

J'ai abandonné tout espoir pour l'avenir de notre belle Corrèze.



UBU en CORRÈZE

12/13 : Journal national Édition du jeudi 5 avril 2018

10,000 arbres abattus en Corrèze

https://www.france.tv/france-3/12-13-journal-national/455917-edition-du-jeudi-5-avril-2018.html

(A partir de 17'57'')

 

D'après M. Coste, ils abimaient nos routes: bon débarras!

Venez l'écouter discourir au Colloque
CONTRAT DE TRANSITION ÉCOLOGIQUE
vers une verte vallée corrézienne ?

(cela ne s'invente pas!)
Vendredi 6 avril 2018, 9h, Hôtel du Département Marbot - TULLE


Lettre ouverte de Anne et Laurent à Élise Lucet

“Désastreuse campagne d'élagage en Corrèze”
(mercredi 4 avril 2018)


 

Le très haut débit pour tous grâce à une alliance Eutelsat, Thales, Orange

 

L'apparition de cette nouvelle technologie, bien adaptée aux zones de faible densité et donc à une partie de la Corrèze, devrait conduire le Département à faire une nouvelle étude chiffrée, à partir des besoins réels, et à comparer dans chaque zone de densité homogène l'utilisation du satellite à celle de la fibre optique. En particulier il faudra tenir compte du coût de l'entretien des lignes de fibres optiques aériennes et de leur incidence sur le paysage (!). La possibilité d'utiliser le satellite en" très haut débit" rend la solution "fibre optique" obsolète dans une partie de la Corrèze.


Nouvelle lettre du Conseil de Département de la Corrèze (05/04/2018)

PROGRAMME DÉPARTEMENTAL D'ÉLAGAGE EN CORRÈZE
"Le Conseil départemental décide de faire évoluer la méthode en passant d'un programme contraint à un contrat de confiance et d'engagement avec les propriétaires"

 

Pas de moratoire, toujours aux citoyens de payer, et... on ne parle plus de la fibre!

On note aussi que les arbres n'abiment plus les routes "en diminuant leur durée de vie de 30%",  comme c'était le cas auparavant.

Il s'agit néanmoins toujours de trouver "d'autres alternatives pour améliorer la longévité des routes corréziennes", car "L'élagage régulier renforce la sécurité routière et réduit les causes d'accidents liés à une chaussée humide/verglacée (50 % des accidents en Corrèze ont lieu sur chaussée humide), à l'amas de feuilles ou à la chute de branches. Il améliore la visibilité (dégagement des carrefours) et la luminosité sur la route."

Les arbres sont la cause des accidents, il vaut mieux s'en débarrasser

Encore un petit effort M. Coste, on y est presque...

 

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Communiqué programme départemental élaga
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Chantage départemental sur nos communes?

 Internet à Haut Débit sur la commune [de Moustier-Ventadour] en 2018:

Elagage obligatoire et numérotation des voies

 

Notre commune sera dans la première tranche d'équipement de la fibre optique, pour ces travaux en 2018, il sera impératif que les routes équipées de réseau téléphonique aérien soient élaguées. Une procédure a été initiée par le Département pour obtenir des propriétaires l'élagage des routes concernées par le téléphone en aérien. Les propriétaires peuvent se préparer à effectuer dans de courts délais leur élagage prochainement dans l'intérêt général d'accès à tous au haut débit. De plus le département, ne soutiendra plus l'entretien des routes communales non élaguées. Le conseil municipal a décidé de nommer et numéroter les 41 voies communales conditions indispensables pour l'accès à tous au haut débit.

Source: https://moustier-ventadour.blog4ever.com/


Périple à vélo contre élagage en Corrèze

France 3 Nouvelle Aquitaine


Imprimer ce logo et apposez le dans votre voiture, votre vitrine ou... sur vos arbres (mais sans clous!)

(version pdf)


Polémique sur l'élagage : "c'est la guerre" commente Allain Bougrain-Dubourg en visite en Corrèze (FranceBleu-31 mars 2018)

Le président de la ligue pour la protection des oiseaux s'est dit "scandalisé" par les centaines d'arbres récemment coupés en Corrèze. Il a promis d'en parler à Nicolas Hulot, ministre de l'écologie.


Allain Bougrain-Dubourg était ce samedi 31 mars en Corrèze pour se rendre compte des dégâts causés par l'élagage. Le président de la Ligue pour la protection des oiseaux était scandalisé par ce qu'il a vu.

"Je rends hommage aux donneurs d'alerte, les représentants d'associations de protection de la nature, qui sont là et qui essaient de secouer les consciences. C'est une première étape et ça prend une dimension nationale. Je crois qu'il faut dans les plus brefs délais, et je ne manquerai pas d'en parler au cabinet de Nicolas Hulot, qu'il y ait un moratoire sur le sujet".



Lisez la lettre que Sébastien, élagueur et "facteur" corrézien à vélo apportera en main propre à Nicolas Hulot la semaine prochaine.

Et assistez à son départ en vélo de Tulle Samedi 31 mars à 10h devant les locaux du Conseil Départemental, ou encouragez le de 10h à 11h sur le marché, place de la Cathédrale. Suivez son périple sur Facebook.

 


Table ronde d'information et d'échanges sur la gestion des bords de route en Corrèze

mardi 20 mars 2018 à TULLE (19)

Vidéo de la réunion (partagée par Jean Michel Caspar)

 

Intervention de la Cellule d’assistance juridique de Limousin Nature Environnement:

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CAJ LNE intervention 20mars2018 gestion
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 Communiqué du CRRAC

 

Quand vous avez reçu le premier courrier vous demandant d’élaguer VOS arbres en limite de  parcelles, vous êtes vous demandé si les arbres en bord de route étaient bien à vous ? Le premier schéma du Département n’était pas clair du tout et on pouvait croire que les  premiers arbres entre le goudron et la parcelle étaient ceux à traiter.

 

Le schéma fourni avec le courrier du mois de mars indique par contre clairement comment  trouver les limites du domaine public. Le haut du talus quand la route est plus basse que la  parcelle, et le bas du talus quand elle est plus haute sont les limites présumées du domaine routier.

 

Comme il y a très souvent des arbres, même de gros arbres, entre l’accotement de la route  et ces limites liées aux talus, on s’aperçoit que dans de nombreux endroits ces arbres ont été coupés par les riverains qui ont cru qu’il s’agissait de LEURS arbres.

 

Si c’est votre cas vous avez donc dépensé du temps et de l’argent pour couper des arbres dont c’était au Département de s’occuper !  Vous êtes donc parfaitement dans vos droits si vous demandez au Département de venir vérifier sur place et, s’il est avéré que vous avez coupé les arbres du Département, de demander à celui-ci de vous rembourser intégralement les frais engagés.

 

Et si, par malheur, vous ou vos proches se seraient blessés ou fait mal lors de ces opérations,  vous seriez également fondés à demander des dommages et intérêts au Département. La responsabilité de ce dernier est en effet engagée dans la mesure où la désignation des arbres à élaguer ou couper était très confuse et où le premier courrier de septembre ne vous mettait absolument pas en garde au sujet de la dangerosité des travaux ni ne vous donnait des conseils de sécurité.

 

Vous pouvez contacter le CRRAC par mail collectif.crrac@gmail.com

 


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Retrouvez ici l'ensemble des lettres du Conseil Départemental aux propriétaires
2.Lettres du Président du Conseil Départ
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La goutte d’eau et le Président,

 

C’est l’histoire d’une petite goutte d’eau, celle qui naît de l’évapotranspiration des océans, qui parcourt des milliers de kilomètres, visite nos paysages loin au dessus de nos tête.
Une goutte d’eau qui se condense au cœur des nuages et qui finit irrémédiablement par tomber sur nos toits, sur nos routes, sur nos arbres.
Cette goutte d’eau possède des propriétés très spécifiques dans mon pays, la Corrèze. J’y viens plus loin….

Vous connaissez le département de la Corrèze ? Le pays vert, un département où il fait bon vivre, où la qualité de l’air est réputée être une des meilleures de France (palmarès de l’écologie, La Vie, 2017).
C’est aussi un Pays reconnu pour sa propension à faire émerger des hommes et des femmes politique de premier plan !
Là je m’éloigne. Et la goutte d’eau dans tout cela ? Et bien figurez-vous qu’en Corrèze, la goutte d’eau, tombe sur nos arbres. Oui, sur nos arbres !

Jusqu’ici tout va bien. Aucune problématique en vue si ce n’est que parfois, lorsque les vents ne sont pas favorables, la goutte tombe sur un arbre qui se trouve….. en bordure de route !

Et la goute d’eau que fait-elle ? Elle ruisselle sur le feuillage, le long des rameaux et finit par tomber sur la chaussée !

Et là, IN…CRO….YABLE, la goutte d’eau, impacte l’asphalte et provoque des dégâts irrémédiables !

Ce sont les représentants du Conseil Départementale de la Corrèze qui le disent.
Vous en doutez ? Allez donc visiter le site du Conseil Départemental, c’est par ici : http://www.correze.fr/deplacements-et-territoire/…/lelagage/

Heureusement nous sommes en de très bonnes mains, car en Corrèze le Conseil Départemental a pris les choses très au sérieux !

Cela tombe bien, puisque la fibre optique arrive à grand pas. Et en aérien s’il vous plaît ! Pourquoi pas faire d’une pierre deux gouttes ?
Et oui, la grâce s’est penchée sur nos décideurs ! La solution passera par l’ARBRE ! Ou plutôt sa suppression, son éradication, sa disparition des bords de route.

Terminé l’ombre des arbres qui en hiver empêche le soleil de faire fondre la glace, la neige et le givre sur nos route.
L’argument est imparable, une longévité de nos routes augmentée de 30%. Incroyable, nos routes étaient déjà parmi les meilleurs de France, et vont le rester plus longtemps !

Bon, mes enfants me soutiennent que les feuilles tombent des arbres en hiver, d’accord, mais il reste les troncs et les branches, ça fait bien de l’ombre non ?

Terminé les branches et les arbres qui tombent sans arrêt sur les véhicules qui circulent ! D’ailleurs, pourquoi ne pas limiter la vitesse à 50km/heure sur nos routes départementales? Histoire d’anticiper toute chute intempestive d’objets.

Terminé les tunnels d’ombre qui vous gâchent la conduite. C’est bien connu, la végétation est parfois tellement dense en bordure de nos routes corrézienne que même les rapaces nocturnes ne s’y aventurent pas pour chasser.

La machine est donc en marche !
- 3700 km de routes concernées, sans compter les voies communales.
- 28 000 Corréziens destinataires d’une « injonction » sous peine d’une « décision d’exécution d’office”.
- 1 600 000 euros de la poche du Conseil Départemental.

La goutte d’eau, je vous le dis, ne pourra plus tomber de l’arbre sur la route. Elle tombera directement sur la route !

C’est vrai que l’attrait pour notre beau département doit beaucoup aux arbres. C’est un héritage des générations précédentes. Mais il faut choisir...

C’est l’Arbre ou la modernité, c’est l’Arbre ou les économies financières.

Ce qui est gênant, c’est que ma voisine de 85 ans n’a pas les moyens de se payer un prestataire pour les 1500 mètres dont elle est propriétaire.
Elle a trouvé la solution, c’est de vendre la totalité de ses arbres jouxtant la route à des marchands de bois.

D’accord il existe des risques, notamment celui de devoir passer le giro-broyeur deux fois par an sur les 20 mètres de chaque coté de la chaussée pour éviter que les arbres ne repoussent. Paraît-il que la nature reprend très vite ses droits, en 5 ans, un arbre peut avoir l’idée de titiller le câble de la fibre optique.

Incroyable comment c’est vigoureux un arbre, et comme c’est utile !

J’ai lu que les arbres sont capables de transformer le CO2 contenu dans l’air en bois et oxygène. Ca s’appelle la photosynthèse.
Apparemment, 1 mètre cube de bois permet de stocker ou fixer 1 tonne de CO2 ! Soit pour un beau Hêtre de 30 à 40 ans, environ 2 tonnes de CO2.
Combien de Hêtres, de Chênes vont être coupés ? Combien de tonnes de CO2 ne vont pas être transformées en bois ? Sans doute des centaines, voir des milliers de tonnes.

Allons nous étouffer en Corrèze en 2018 ?

Allons nous perdre notre très bonne place au palmarès du département de France dont la qualité de l’air est une des meilleures de l’hexagone ?

Plus sérieusement, ce qui se passe aujourd’hui en Corrèze et la forme qui y est mise est en complète opposition avec la nécessité de prendre en compte l’ensemble des composantes liées à notre environnement.
Ceci dans le cadre d'une gestion durable, vocabulaire inexistant au sein de la collectivité départementale.

Si toutes les communes suivent à la lettre les recommandations du Conseil Départemental, c’est un paysage, un patrimoine commun remarquable légué par nos aïeuls qui disparaîtra.
Au delà de l’impact paysager, c’est également un impact environnemental qui est menacé. L’Arbre est un écosystème complet à lui seul jouant des rôles multiples au cœur du « vivant ».
L’Homme est lié aux arbres qu’il le veuille ou non, sans eux, il ne peut respirer, vivre. Ne l’oublions pas et au contraire affirmons-le !
Pour ces diverses raisons, il est de notre devoir de résister, de défendre ce qui peux encore l’être.


A l’initiative de CORREZE ENVIRONNEMENT le documentaire ‘’l’intelligence des arbres ‘’ a été projeté au cinéma Le Rex à Brive le 19 janvier.

 

Plus d’une heure de queue, une seconde salle rajoutée au dernier moment et, malgré cela,plusieurs dizaines de spectateurs n’ont pas trouvé place : un franc succès !

 

Il semblerait que les corréziens soient, en ce moment, très sensibles à l’intelligence des arbres..et à l’intelligence des décideurs de notre beau département ….